🥖 Farine, pain, pâtes… tout ça te rend (vraiment) malade
Pendant des générations, on nous a répété que le pain était “la base de l’alimentation”, que “les féculents c’est la vie” et que “sans céréales, on n’a pas d’énergie”.
Mais si tout cela était vrai à une autre époque — et totalement faux aujourd’hui ?
Parce que le blé d’hier nourrissait.
Celui d’aujourd’hui t’enflamme, t’épuise, et te rend dépendant.
🌾 Le blé moderne : un aliment transformé par l’industrie
Le blé de nos grands-parents n’existe plus.
Au fil des décennies, on l’a sélectionné, hybridé, modifié pour le rendre plus productif, plus riche en gluten et plus docile pour les machines.
Résultat :
➡️ des grains plus pauvres en nutriments,
➡️ un gluten devenu agressif pour les intestins,
➡️ et une farine raffinée à l’extrême, quasi dépourvue de fibres, de vitamines et de minéraux.
Ce blé-là ne nourrit plus : il remplit.
Et c’est bien toute la nuance entre “manger à sa faim” et “nourrir son corps”.
⚡ Pain, pâtes, biscuits : le trio gagnant du chaos glycémique
Quand tu manges du pain blanc, des pâtes classiques ou un gâteau du commerce, ton corps reçoit un shoot de glucose ultra-rapide.
Ta glycémie s’envole → ton pancréas libère un pic d’insuline → ton sucre chute → tu as faim à nouveau.
Et le manège recommence. 🎢
Tu crois manquer de volonté ?
Non : ton cerveau subit les effets d’une dépendance biochimique, entretenue par des glucides à assimilation éclair.
Plus t’en manges, plus tu en veux.
Et ton corps finit par stocker, s’enflammer et s’épuiser.
🧠 Le blé, un sucre déguisé
Sur le plan métabolique, le pain blanc ou les pâtes cuites al dente ont quasiment le même effet qu’un morceau de sucre.
Ils font grimper la glycémie aussi vite, voire plus vite qu’une sucrerie.
Et derrière ce pic, c’est tout ton système hormonal qui déraille :
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📈 Insuline en excès → stockage du gras viscéral
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📉 Hypoglycémie réactionnelle → fringales, fatigue, nervosité
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🔥 Inflammation chronique → dérèglement digestif, cutané, articulaire
Le blé moderne agit comme un carburant d’urgence, pas comme une énergie durable.
🧬 L’intestin, première victime silencieuse
Ajoute à tout ça un gluten surconcentré, des farines oxydées, des levures industrielles à fermentation ultra-rapide, et tu obtiens la recette parfaite pour un intestin qui souffre :
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Ballonnements, douleurs, transit irrégulier
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Perméabilité intestinale (“leaky gut”)
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Carences en fer, zinc, magnésium ou vitamines du groupe B
Ton système immunitaire finit par s’enflammer en continu.
Et si tu ajoutes à cela le stress, les plats préparés et les repas avalés à la va-vite… c’est tout ton métabolisme qui part en vrille.
💣 Pourquoi on continue à t’en recommander ?
Parce que ces recommandations datent d’une autre époque.
Juste après la guerre, l’objectif était simple : nourrir la population à moindre coût.
Le blé était abondant, facile à produire et à stocker. On en a fait la base de la pyramide alimentaire.
Mais aujourd’hui, nous ne manquons pas de calories.
Nous manquons de nutriments, de vrais aliments et de diversité naturelle.
Continuer à manger comme en 1950, c’est nourrir un corps de 2025 avec des repères nutritionnels d’un autre siècle.
🌿 Alors, on fait quoi ?
Le problème n’est pas le pain en soi.
C’est le pain industriel, les farines blanches, les blés modernes et leur omniprésence dans notre alimentation.
👉 Reviens au vrai, au simple :
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Pain au levain naturel, à fermentation lente
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Farines anciennes (petit épeautre, seigle, sarrasin, châtaigne)
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Consommation raisonnée : pas à chaque repas, pas comme base de ton alimentation
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Mets de la couleur dans ton assiette : légumes, fibres, bons gras, protéines de qualité
Ton énergie, ta glycémie et ton intestin te diront merci.
💬 En résumé :
Le blé moderne ne te nourrit plus, il te règle — à coups de fringales, de fatigue et d’inflammation.
Farine, pain, pâtes… tout ça, consommé à l’excès et dans sa forme industrielle, te rend malade et dépendant.
Le problème n’est pas ton corps.
Le problème, c’est le message alimentaire qu’on ne met plus à jour depuis 70 ans.
🫒 Mange vrai.
Mange vivant.
Mange comme si ton bien-être dépendait de ce que tu choisis — parce que c’est exactement le cas.
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